2011, feutre sur papier, 25 x 21cm
2011, feutre sur papier, 25 x 21cm
2011, feutre sur papier, 28 x 20,8 cm
Subduction est une exposition croisée de Mathieu Harel-Vivier et Etienne De France, deux jeunes photographes qui travaillent notamment sur l’absence d’objet dans l’image et présentent ces recherches au We-Project, à Bruxelles, à l'invitation de sans titre, 2006.
La veille du vernissage, la JHB Fondation Royale convie les artistes et les commissaires à une discussion qui parlera de ce que l'exposition aurait pu être, de ce qu'elle ne sera pas, de
ce qu'elle est peut-être, d'un héritage commun aux deux artistes issu d’une tradition picturale, d'histoire de l'art, d'iconographie, d'iconologie et des mythologies afférentes. Ou pas.
2011, feutre sur papier, 25 x 21cm
Exposition organisée par Béatrice Bailet en collaboration avec le comité de la Galerie Vertige, Bruxelles
La Galerie Vertige est un lieu unique, particulier, un pont entre l’univers psychiatrique et le monde extérieur, une passerelle entre différents types de création artistique.
Située au cœur du C.R.I.T. — centre de réadaptation psychosociale — et librement accessible au public, la galerie est entièrement gérée par un groupe d’usagers, soutenu par un socio-thérapeute et un professionnel de la scène artistique. On appelle cet atelier le Comité Galerie.
Ce projet consiste en l'organisation d'une fête déguisée en lieu et place du vernissage de l'exposition Bal Masqué ohé ohé. En utilisant pour prétexte de départ le thème de la commedia dell'arte, nous avons fabriqué des costumes et des accessoires, avec du matériel de récupération, pour permettre aux organisateurs et aux spectateurs de se déguiser. La salle a été décorée avec des guirlandes, des confettis et autres serpentins et des gélatines de couleurs ont été installées sur les éclairages. Des affiches et cartes postales corrélatives au déguisement étaient accrochées aux murs de l'espace d'exposition. L'ambiance musicale a été créer pour l'occasion par des participants aux Radioclash. Ils ont associé des morceaux sur l'idée du bal masqué.
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
En octobre 2010, j’ai suivi trois semaines les étudiants des Beaux-arts d’Angoulême pendant leurs premiers jours dans l’école et dans la ville. Je suis allée en classe avec eux et j’étais conviée
aux sorties extra-scolaires.
Avec la participation des élèves, j’ai présenté lors de l’exposition collective Ex Vocare un ensemble de dessins et de textes résultants de cette expérience. Ils dépeignent des faits liés à la
rentrée des classes et à la rencontre des nouveaux étudiants. Les textes sont des citations ou extraits de citations de dictionnaires et de paroles d’élèves, d’enseignants, de philosophes et
d’artistes.
Une vidéo a aussi été réalisé par deux étudiantes, Elena Guerin et Marjorie Goalard, avec la complicité de leurs collègues de 1ère année des Beaux-arts. Cliquer ici pour la découvrir
Affiche arc-en-ciel de seconde main sur laquelle des lettres transfert ont été appliqué pour composer le poème de Jacques Prévert, L'école des Beaux-arts, issu du recueil Paroles, 1946
Cliquer sur les images pour les agrandir
Avec Béatrice Bailet, François Henninger, Thomas Lannette, Gérard Quiles, Julien Rucheton, Romain Sein et Mickaël Vivier aux Ateliers Magelis.
Photos © Richard Porteau
Béatrice Bailet, Expérience Alumna, 10/2010 ÉESI Angoulême, technique mixte, 2010
Vue de l'exposition
François Henninger, Carnets de voyage, cahiers, 2010
Vue de l'exposition
Gérard Quiles, Sans titre (vanités), acrylique sur toile, 2008
Thomas Lannette, Jeu chorégraphique n°2, vidéo 7'40'', 2010
Vue de l'exposition
Julien Rucheton, Variations in incomplete open cubes, tubes fluorescents et boitier d'allumage électronique, 2010
Romain Sein, Brandeau, valise, système radio/TV, pendule, cartes postales, 2010
Mickaël Vivier, Sans titre_code 1.1, acrylique sur toile, 2010
2010, série Des Celés, feutre sur papier, 28 x 21 cm
Coloriage sur un dessin de Charlotte Posenenske, combinaison de 4 éléments, debout ou couché de 1967, reproduit dans le magazine Palais n°11 à l'occasion de sa rétrospective au palais de Tokyo en 2010.
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
Confiée à différents acteurs de la jeune création, la programmation des Rendez-vous du Forum alterne des "sessions" inventées librement par les artistes et
commissaires, ainsi que et des explorations des Collections et des archives audiovisuelles du Centre Pompidou, intitulées "Voir/Revoir".
BLANCHE-NEIGE, LE BANQUET
UNE PROPOSITION DE CATHERINE BAŸ
Un banquet avec une quinzaine de "Blanche-Neige"
Lancé en 2002, le projet prend la forme d'un étrange Banquet auquel prennent part durant sept jours une quinzaine de "Blanche-Neige". Des artistes et des
personnalités sont invités à partager la table des "Blanche-Neige", provoquant des connexions entre des univers fort différents. L'enjeu de ce banquet est de confronter ces univers à la mémoire
du Centre Pompidou, ouvert à la création en devenir mais dont l'histoire et l'architecture sont déjà dans nos mémoires.
Avec les artistes
Laurent Friquet, Pascal Lièvre, Tsuneko Taniuchi, Pauline Colonna d'Istria et Florian Gaité, Azzedine Saleck, Le journaliste, Christoph Hefti, Le Grand Bizarre,
Carole Douillard, Lindaboie, Lea Zitrone, Thierry Mouillé, Robert Kluijver
Biographie
Chorégraphe et metteur en scène, Catherine Baÿ a fait des études de théâtre, de danse et d'ethnologie. De 1987 à 1994, elle orchestre des performances et évènements
dans différents types d'espaces : piscines, boîtes de nuit, friches industrielles, galeries d'art. Elle collabore avec des artistes de différents champs d'expression : plasticiens, architectes,
acteurs-danseurs… Depuis 1994, elle développe un travail sur les codes de représentation à travers différents types de projets, dont le projet "Blanche-Neige", personnage de conte populaire
devenu objet de consommation. Parallèlement à ses créations, Catherine Baÿ dirige artistiquement et coproduit plusieurs structures qui sont des plateformes d'échange et de création permettant de
s'interroger sur le dynamisme possible entre production, diffusion et création.
Le Banquet (extrait du texte de Florian Gaité)
En plein cœur du Centre Pompidou, un groupe de « Blanche-Neige » dresse la table d'un improbable banquet et convie son public à troubler les règles ordinaires de la
réception, tant domestique qu'esthétique. La subversion de l'espace culturel fait de l'événement un moment de transgression au cours duquel les codes habituels se répandent en confettis. Icônes
appropriables par tout un chacun, les « Blanche-Neige » malléables font d'emblée signe vers une consommation généralisée des images et de la culture. Au sein du musée, conservatoire des
représentations collectives, s'envisagent toutes sortes de variations sur un même thème : la création incessante d'une mémoire fédérative, qui se partage comme un moment de réjouissances. Entre
fête des fous et party mondaine dégrippée, le banquet revitalise les mécanismes de la convivialité en se jouant des lieux institutionnels de célébration.
Chaque manifestation surgit alors dans ce terrain vague pour former un cortège absurde qui parade allègrement, dessinant un espace de liberté soustrait aux lois de
la convention hospitalière. La pantomime des « Blanche-Neige », ni danse chorégraphiée, ni théâtre improvisé, les fait évoluer sur une scène ouverte et mouvante, où l'imprévu rythme la cadence.
Ce langage apparemment insensé des corps, cette gestuelle qui fait vivre la différence à même la répétition, dérange les automatismes et ravive les potentialités créatrices du groupe. Dans cet
espace de non-droit, dont les repères désorientent plus qu'ils ne conduisent, le masque fait office d'identité éphémère.
Le déguisement, qui délaye les formes reconnaissables, récrée en même temps qu'il inquiète : comment se distribuent les rôles ? A quel jeu prend-on part ? … Cour des
miracles ou palais des illusions, cette architecture semble transformer tous ses éléments pour produire un spectacle-performance qui prend forme dans le présent du Playtime, du temps
avec lequel on joue. Si la temporalité s'y épuise presque, ce n'est que pour mieux laisser la vitalité s'exalter, pour faire du flux du hasard et des rencontres incongrues un mode d'existence
viable ici et maintenant. Le débordement dionysiaque, comme une énergie vive caractérise l'expérience de ce chaos Dans ce qui s'annonce comme une véritable mascarade, les « Blanche-Neige », en
hôtesses ambigües et dissonantes, battent la mesure pour que d'autres la perdent.
Penseurs, noceurs, idolâtres du corps créent autour de Catherine Baÿ la forme inédite d'un théâtre des civilités perverties. On boit, on mange, on discute, on joue
au sein d'une communauté mobile qui fait elle-même se déplacer les champs formels et catégoriels de la perception. Catherine Baÿ orchestre la progression des quinze « Blanche-Neige » qui, durant
une semaine, vivent un étrange quotidien. Elles se déplacent, se nourrissent, donnent à manger ou font de la gymnastique. Elles évoluent avec absurde jusqu'à produire un système de signes
alternatif, un rituel insolite qui stupéfait le public.
Tsuneko Taniuchi joue la cérémonie quasi-parodique d'un mariage aux deux cent fiancé(e)s pour une seule femme, en confrontant l'unicité symbolique du rite au
renouvellement de ses expériences singulières. Le cérémoniel alimentaire chavire lui aussi. Lindaboie, d'abord, introduit l'ivresse comme l'expression d'une sagesse énigmatique et propose par sa
dégustation de dévoiler le reflet d'une personnalité révélée par ses goûts en matière de vin.
Carole Douillard, en charge des victuailles, pousse quant à elle la logique de l'hospitalité jusqu'à sa plus extrême manifestation : le désir cannibale et le
sacrifice de sa propre chair, au travers de membres modelés à partir de nourriture. A l'image du Journaliste qui campe sa tente et intervient de façon imprévue et spontanée, le lieu oscille entre
présence et absence, perturbé par les diverses manifestations aléatoires d'un monde en bribes. Un territoire de hasard où les paris d'Azzedine Saleck mènent la danse, où le jeu fédère et où
l'irrationnel décrit cette non-histoire. Un territoire des singularités aussi où Le Grand Bizarre affirme autonomie, originalité et possibilité plastique.
Dans la même veine, Christophe Hefti fait d'airs aux pianos l'occasion d'une transformation animale de soi et d'un mélange des genres musicaux intrigant, entre
mélancolie et enthousiasme pop. Dans un conte tout aussi inquiétant, le cavalier sans tête de Laurent Friquet accumule les masques et fragmente la pensée, déroutant la notion d'identité et
brouillant les repères de la référence cultivée. Ce travail de déconstruction de la parole est poursuivi par Robert Kluijver qui commente et illustre de façon obsessionnelle la cène présentée,
s'exprimant en plusieurs langues jusqu'à les mélanger, faisant de son dialecte une cacophonie du sens.
Explorateur du chaos, Thierry Mouillé juxtapose les topographies, mêlant cartographie virtuelle et déchets géographiques, en procédant à des découpes de photos de
lieux en lien avec les « Blanche-Neige ». Ce geste de déterritorialisation caractérise également les performances de Pascal Lièvre qui installe la philosophie au cœur d'une salle de gym ou sur un
podium de défilé. En sensualisant le discours, il explore les résonnances d'une pensée soumise à l'épreuve du collectif. Léa Zitrone finit d'ancrer le banquet dans son actualité, en proposant
d'animer une émission radio. Le live insiste sur l'expérience du direct, considéré comme un signe du vivant.
Enfin, Pauline Colonna d'Istria et Florian Gaité organisent une table ronde performée qui réfléchit les modalités de fonctionnement de la pensée chaotique, tant à
l'œuvre dans le projet du banquet que dans le jeu aux multiples rebondissements qui dirige ce débat.
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
2010, feutre sur papier, 25 x 21cm
Du 18 au 24 Juin 2010 à La Générale en Manufacture
Avec Julie Béna, Maeva Cunci, Pauline Curnier-Jardin, Dominique Gilliot, Thomas
Lannette, Pascal Lièvre, Manuel Scano, Tsuneko Taniuchi, Anne-Sophie Terrillon
Une proposition de Béatrice Bailet, Marie Bechetoille et Marie Frampier
"Portons dix bons whiskys à l’avocat goujat qui fumait au zoo" serait un lipogramme - phrase constituée de toutes les lettres de l’alphabet, sauf une, ici le "e"-, créé par Georges Pérec dans son
livre La Disparition. La contrainte de l’absence permettrait une re-création, la possibilité nouvelle de penser autrement l’origine et le même.
L’exposition éponyme présenterait des traces et indices de performances passées, potentielles ou à venir. Les temporalités quelque peu brouillées dessineraient la trame d’une fiction aux limites
non définies. Les six performances live, elles-mêmes traces de performances, de vidéos ou de textes, seraient présentées simultanément le soir du vernissage, en différents espaces de la
Générale (cour, cage d’escalier, couloir, salles de l’exposition). L’impossible exhaustivité de l’expérience engendrerait chez le visiteur un manque, voire une frustration, et permettrait
l’émergence d’une trace orale située entre rumeur et narration, perte d’informations et association aléatoire d’idées.
Julie Béna présenterait des traces écrites de Juste avant la tombée du jour, performance réalisée le 20 mai 2010 à Nevers, dans la cage d’escalier d’une ancienne maison
de maîtres. Le texte serait ici projeté sur deux niveaux, dans la cage de l’escalier principal de la Générale.
Tsuneko Taniuchi réactiverait l’une de ses propres performances, intitulée Dancing Alone. Le morceau "Rape me" du groupe Nirvana introduirait une danse silencieuse et
solitaire, de la cour à l’espace d’exposition, avec quelques déhanchements furtifs dans l’escalier. Chaque nouvelle étape de sa déambulation deviendrait le reenactment de la précédente.
Maeva Cunci referait une performance passée, potentielle ou future de Dominique Gilliot. Ordinateur, voix, lumières réactiveraient et déconstruiraient l’œuvre
initiale. Les textes des performances de Dominique Gilliot, fictives ou non, cohabiteraient dans l’espace avec l’œuvre sonore d’Anne-Sophie Terrillon. La reprise par Pipilotti
Rist de "Wicked Game" (Chris Isaak) serait elle-même reprise, et reprise. Et reprise. Encore.
Dans son film LOV & TVO, the film of the performance-film, Pauline Curnier-Jardin réactiverait une performance en laquelle elle aurait narré le scénario d’un film
qu’elle aurait pu un jour réaliser. Le récit de la narratrice se mêlerait aux images mentales et autres divagations mélancoliques du personnage principal.
Abba Mao versus Abba Mao serait une performance proposée par Pascal Lièvre. Elle-même réactivation d’une vidéo montrée simultanément et ainsi partie intégrante de la
performance, elle serait une mise en abyme et offrirait un point de vue inversé sur la trace, devenue processuelle.
Manuel Scano, animé épisodiquement par quelque pulsion agressive ou passion déchaînée, sublimerait par à-coups son installation suspendue. Thomas Lannette
présenterait sa vidéo Chaises Musicales et performerait, avec une esthétique burlesque, l’un des “jeux vidéo” figurant dans le carnet qu’il présente dans l’espace d’exposition.
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Julie Béna, Juste avant la tombée du jour, double vidéoprojection, 7’40’’, 2010
Extraits
Tsuneko Taniuchi, Dancing Alone, performance, 30’, 2010
Maeva Cunci, ZZZ Remix: MC rejoue DG, 25’, 2010
Dominique Gilliot, Performances potentielles: Pectine Spectacle, 2009, ZZZ, 2010, Biscuit, 2010
Pauline Curnier-Jardin, LOV & TVO, the film of the performance-film, vidéo, 24’42’’, 2007-2010
Extraits
Pascal Lièvre, Abba Mao versus Abba Mao, performance, 4’01’’, 2010
Manuel Scano, Sans titre, sculpture performée, 2010
Thomas Lannette, Chaises Musicales, 7’57’’, vidéo DV, 2006
Thomas Lannette, Jeux vidéo, catalogue d'oeuvres virtuelles (édition unique), 2006-2010
Thomas Lannette, Le Sens de la vie 2, performance, 7’, 2010
Vues d'ensemble
Performance durant l'exposition Ghost Track, proposée par La Mobylette à l'espace d'art contemporain des voûtes de Royan.
Her Majesty est un morceau des Beatles (Abbey Road, 1969) considéré comme le premier "morceau caché" de l'histoire de la musique.
Her Majesty’s a pretty nice girl, Her Majesty est une assez
gentille fille,
but she doesn’t have a lot to say Mais elle n’a pas grand chose a dire
Her Majesty’s a pretty nice girl Her Majesty est une assez gentille fille
but she changes from day to day Mais elle change de jours en jours
I want to tell her that I love her a lot Je voudrais lui dire que je l’aime beaucoup
But I gotta get a belly full of wine Mais j’ai le ventre rempli de vin
Her Majesty’s a pretty nice girl Her Majesty est une assez gentille fille
Someday I’m going to make her mine Un jour je la ferai mienne
Someday I’m going to make her mine. Un jour je la ferai mienne.
Dans la cadre de Ghost Track, une exposition sous forme de spectacle où les oeuvres sont montrées sur scène, je me suis déguisée en Elisabeth II d'Angleterre. Elle est une des icônes de la représentation encore vivante et son célèbre signe de la main est connu de tous.
Je me suis travestie pour lui ressembler, avec tout les accessoires nécessaires, avant le début du spectacle. Je me suis ensuite mêlée au public, intrigué par cette fausse-vieille-vrai-jeune personne. Mon camouflage dans la population royannaise était réussi au regard des
informations démographique de la ville: la classe d'âge la plus nombreuse est celle des 75-79 ans et plus de 43% des habitants ont dépassé les 60 ans . Cette pyramide des âges atypique
montre également une surreprésentation des femmes (55,5%) qui s'explique par la structure âgée de la population (l'espérance de vie étant supérieure pour les femmes).
J'ai assisté au spectacle dans le public comme n'importe quel spectateur. Lorsque la performance a été annoncé par les présentateurs de la soirée sur scène, je suis
restée dans le public, le spot de poursuite me cherchait, et durant les quelques dizaines de secondes qu'ont duré la présentation et la chanson des Beatles en arrière-plan, j'ai adressé un
signe royal de la main à
l'audience.